Bruno Heitz est auteur-illustrateur, mais il n’aime pas le dire. Pour lui, c’est le contraire : c’est parce qu’il aime dessiner qu’il raconte des histoires. Né au nord de la Loire, à 18 ans il prend son vélo pour aller vivre en Italie. Après 700 kms de nationale 7, il arrive à Arles et y fait étape pour une vingtaine d’années. Il se consacre alors à l’écriture de plusieurs livres pour enfants. Au début, les loups qu’il griffonne en noir et blanc lui permettent de faire quelques fables animalières. Grâce aux bibliothèques municipales, ses livres lui donnent l’occasion de rencontrer des enfants des écoles et leurs instituteurs, d’où une série reportage sur l’école, où il s’amuse à raconter ce qu’il voit dans le système éducatif.
L’envie de graver le linoléum, le bois, de déchirer et de coller des papiers l’amène à développer un nouveau style. Après une excursion dans la BD, il expérimente enfin une nouvelle technique : il construit et peint des petits objets en bois, qu’il photographie pour raconter une histoire. C’est dans ces ambiances toutes de volumes, d’ombres et de clins d’½il qu’il nous offre de partager son amour pour Brassens…
L’envie de graver le linoléum, le bois, de déchirer et de coller des papiers l’amène à développer un nouveau style. Après une excursion dans la BD, il expérimente enfin une nouvelle technique : il construit et peint des petits objets en bois, qu’il photographie pour raconter une histoire. C’est dans ces ambiances toutes de volumes, d’ombres et de clins d’½il qu’il nous offre de partager son amour pour Brassens…